








🇪🇺Folsom Europe 2024🇪🇺
🇫🇷L’été touche à sa fin, mais le meilleur est encore à venir. Folsom Europe approche, et j’ai marqué cette date sur mon calendrier depuis des mois. J’en ai entendu parler pour la première fois il y a quelques années, mais cette fois-ci, je suis décidé à y participer pleinement, prêt à embrasser chaque instant avec tout ce que cela implique. Folsom Europe n’est pas seulement une street fair — c’est un pèlerinage pour ceux qui, comme moi, trouvent dans la domination et le sexe gay une forme de liberté et de puissance.
Le jour de la street fair, l’atmosphère dans les rues de Berlin est électrique. Dès mon arrivée, je sens l’excitation monter en moi. Des hommes défilent dans des tenues toutes plus impressionnantes les unes que les autres : cuir noir luisant, harnais parfaitement ajustés aux torses musclés, cagoules, tenues en latex moulantes. Certains se promènent fièrement en jockstrap, la peau nue brillant sous le soleil berlinois, d’autres exhibent leurs tenues de fétiche, créant un spectacle visuel incroyable.
Je me sens vibrer. Je porte un haut de compression de sport et une cagoule. Marchant dans les rues bondées, je croise des regards de complicité, de désir. Jamais je n’ai ressenti une telle liberté, une telle acceptation dans l’expression de ma sexualité.
Près d’un stand qui vend des jouets BDSM, je vois un groupe d’hommes en train de discuter, fouets et chaînes exposés à côté d’eux. Certains se laissent fouetter dans des cages de démonstration. Je souris en voyant l’un d’entre eux hurler de plaisir sous les coups d’un dom bien bâti. Ici, il n’y a aucune place pour la honte. Les limites du plaisir sont sans cesse repoussées.
Le soir, je me dirige vers The Lab, une soirée réputée pour son côté extrême et très kinky. L’entrée donne déjà le ton : une lumière rouge diffuse baigne la salle, créant une atmosphère de dépravation envoûtante. Des cabines privées parsèment les couloirs, mais les plus aventureux se laissent aller dans des zones ouvertes, sous le regard avide des autres. Des bancs de soumission sont installés ici et là , et je perçois dans l’air les cris de plaisir, les gémissements et les claquements nets des fouets contre la chair.
Mon rôle de dom m’excite comme jamais. Je scrute la salle, cherchant ma prochaine proie, prête à s’offrir à mes désirs. Mon attention se fixe sur un homme en cagoule, les fesses relevées, les poignets attachés à une barre au sol. Son corps tremble d’anticipation, et je sais exactement quoi faire pour le mener là où il veut aller. Mes mains parcourent lentement son dos nu, et je prends plaisir à faire monter la tension avant de lui asséner un coup sec sur ses fesses exposées. Le contrôle, la domination, tout ça me fait vibrer. L’air est saturé de désir brut, et je m’abandonne totalement à cette dynamique de pouvoir.
Le lendemain, je suis encore ivre de la nuit passée, mais la soirée Pig m’attend. Celle-ci est plus grande encore, un gigantesque espace où des centaines d’hommes venus du monde entier se rassemblent pour explorer leurs fantasmes les plus sombres. Dès que je franchis les portes, je suis pris dans une ambiance moite, chargée de sueur, de cuir, et de phéromones. Les corps se frottent les uns aux autres, le désir flotte lourdement dans l’air.
Partout où je regarde, des hommes s’abandonnent à leurs fantasmes : des cages, des slings, des croix de Saint-André, tout est mis en place pour que chacun puisse explorer ses limites. L'excitation de ce spectacle m’envahit, et mon envie de dominer grandit à chaque seconde. Un jeune homme portant un collier et affichant un regard suppliant croise mon chemin. Sans dire un mot, je le saisis par la gorge, sentant son corps se raidir sous mon emprise. Je l’emmène vers une cabine plus privée, et en un instant, tout est clair. Je le plaque contre le mur, dominant chaque centimètre de son corps, savourant cet instant où le pouvoir devient une réalité tangible.
Je me sens invincible ici. Mon plaisir réside dans cette domination totale, dans le fait de repousser les limites des autres, d’explorer toujours plus loin cette danse entre contrôle et abandon. Folsom Europe est bien plus qu’un événement pour moi — c’est une révélation de mes désirs les plus profonds, de ma puissance en tant qu’homme gay, actif et dominant. Et l’année prochaine, je reviendrai, encore plus affirmé dans mon rôle, prêt à aller plus loin, à explorer de nouvelles frontières de plaisir et de pouvoir.
🇺🇲 Summer is coming to an end, but the best is yet to come. Folsom Europe is approaching, and I’ve had this date marked on my calendar for months. I first heard about it a few years ago, but this time, I’m determined to fully take part, ready to embrace every moment with everything it entails. Folsom Europe isn’t just a street fair — it’s a pilgrimage for those like me who find freedom and power in domination and gay sex.
On the day of the street fair, the atmosphere in the streets of Berlin is electric. As soon as I arrive, I feel the excitement rising in me. Men parade in outfits more impressive than the last: shiny black leather, harnesses perfectly fitted to muscled torsos, hoods, tight latex suits. Some proudly walk in jockstraps, their bare skin glistening under the Berlin sun, while others display their fetish gear, creating an incredible visual spectacle.
I can feel myself buzzing. I’m wearing a compression top and a hood. Walking through the crowded streets, I meet eyes filled with complicity and desire. I’ve never felt such freedom, such acceptance in expressing my sexuality.
Near a stall selling BDSM toys, I see a group of men talking, with whips and chains on display next to them. Some allow themselves to be whipped in demonstration cages. I smile as I see one of them scream in pleasure under the blows of a well-built dom. Here, there is no place for shame. The boundaries of pleasure are constantly being pushed.
In the evening, I head to The Lab, a party known for being extreme and very kinky. The entrance sets the tone: a soft red light bathes the room, creating an atmosphere of enchanting depravity. Private cabins line the hallways, but the most adventurous give in to their desires in open areas, under the eager eyes of others. Submission benches are scattered around, and I hear the cries of pleasure, moans, and the sharp sounds of whips against exposed skin.
My role as a dom excites me more than ever. I scan the room, searching for my next prey, ready to surrender to my desires. My attention focusesasure and power.